Saint-Benoît est une commune de l'est de la Réunion qui s'étire sur 22960 hectares. Du littoral au sommet des montagnes, la commune dotée d'une végétation variée et luxuriante offre des paysages paradisiaques et des activités natures accessibles à tous.
Du quartier de Sainte Anne qui abrite l'église du même nom, un chef d’œuvre architectural original à ne pas manquer, en passant par l'incroyable vallée de Takamaka ou encore la vivifiante rivière des Marsoins, la commune possède plusieurs points d'intérêts qui attirent de nombreux touristes et de nombreuses familles lors des pique-niques dominicaux.
Quelques suggestions de visites :
- promenade à l'îlet Coco ou à Bethléem au bord de la rivière des Marsouins
- rafting ou baignade dans la rivière des Marsouins
- point de vue de Takamaka et randonnée
- point de vue et tour (à pied ou à cheval) de Grand-Etang
- une pause sous les letchis de Bethléem
- plus au Sud, le village de Sainte-Anne et ses cases créoles colorées
- envoutante église de Sainte-Anne (décor d'une scène du film la Sirène de Mississipi en 1969)
- bassin Bleu
La côte Est de la Réunion, c’est la partie de l’île la plus exposée aux alizés, donc avec d’avantage de vents et de pluies, le climat est plus humide. Plus humides, donc plus vertes, la fertilité des terres de l'Est a incité les travailleurs agricoles indiens à s'y installer. La nature reste exubérante malgré les efforts pour en tirer le meilleur parti (culture de la canne, de la vanille...) : cascades, bassins, forêts primaires...
La Réunion, elle a tout d’une grande !
Dans l’océan indien, entre l’immense Madagascar et l’île Maurice, l’île volcanique de La Réunion a surgi du fond de l’océan, il y a trois millions d’années. Ce morceau de France à 10.000 kms de la « Métrople » se chauffe au soleil de l'hémisphère sud ne peut se comparer aux autres îles de l’Océan Indien : villages perdus entre des crêtes étroites, paysages lunaires ou cascades vertigineuses, la Réunion ravira autant les adeptes du farniente que les sportifs et notamment les randonneurs. Dans cet espace naturel à couper le souffle, on y découvre aussi une culture originale, au carrefour de trois continents : Asie, Europe et Afrique.
Quand partir ?
La Réunion est caractérisée par un climat tropical humide tempéré par l’influence océanique des alizés soufflant d’est en ouest. Le climat de la Réunion est caractérisé par sa grande variabilité, notamment dû au relief imposant de l’île. Deux facteurs sont à prendre en considération :
Donc :
- Les précipitations : sur la côte Ouest, il pleut rarement, tandis qu'à l'est, il pleut très souvent !
- Période cyclonique : en principe, de décembre à mars. De toute façon, janvier est déconseillé : c'est la période des vacances scolaires.
- De mai à novembre, c’est la saison « fraîche ».
- Le reste de l’année, c’est l’été austral, autrement dit la saison chaude et des pluies. Ça peut être dur-dur pour les randonneurs !
- Les plongeurs et les surfeurs sont plus gâtés, la température de l’eau est idéale toute l’année.
Formalités
Pour les citoyens français et l’union européenne : une carte d’identité ou un passeport en cours de validité.
Pour les ressortissants des pays étrangers en dehors de l’union européenne : un passeport en cours de validité, un visa le cas échéant (exemple pour les ressortissants d’Afrique du Sud) et un billet retour ou une continuation de voyage.
SantéDes précautions doivent être prises, ainsi que pour les départs vers toutes les destinations tropicales :
- L’utilisation d’une crème ou d’un spray anti-moustique
- Pour les passagers des pays d’endémie : la vaccination contre la fièvre jaune et le cholera
- Il n’y a pas de paludisme à la Réunion.
Département français, la monnaie est l’Euro. Vous n'aurez donc pas besoin de changer votre argent en arrivant, mais si vous devez le faire, vous pourrez changer vos devises à l'aéroport, en ville ou dans les grandes banques. Certains hôtels de l'île acceptent les monnaies étrangères.
La plupart des cartes de crédits sont utilisables à la Réunion, vous pourrez retirer de l'argent dans les distributeurs bancaires, qui sont aussi appelés gabiers, et qui sont assez nombreux dans les centres-villes.
Attention, pour les chèques de métropole, certains magasins, hôtels ou même certaines stations-service ne les acceptent plus. C'est généralement indiqué, mais demandez tout de même avant.